L’édifice est la réplique du phare du même nom, construit en 1884 au Cap Horn, en Patagonie et rendu célèbre par le roman de Jules Verne. Abandonnés au XXème siècle, ses vestiges sont retrouvés en 1990 par un navigateur rochelais : André Bronner.
Née de la volonté de cet homme, l’association du Phare du Bout du Monde lance la reconstruction du phare originel, puis celle de son « reflet », en 1998, à La Rochelle.
En 2000, le Phare du Bout du Monde prend alors place face à la plage des Minimes. Il remplace une perche de bois matérialisant cette zone délicate et il est répertorié officiellement par le Service des Phares et Balises. Depuis, il rend la navigation plus sûre et rayonne à 27 kilomètres à la ronde (par beau temps) pour avertir les navires des hauts fonds dans la zone.
Les travaux que nous engageons aujourd’hui, avec l’entreprise SETA, consistent à assurer la protection anti-corrosion de la structure du Phare et de ses pieux.
Avec la volonté d’impacter le moins possible l’environnement durant ces travaux, les entreprises mettront en place des procédures dédiées pour éviter les pollutions. Par exemple en installant des filets fins pour récupérer les déchets dus aux opérations de sablage.